vendredi 23 mars 2012

Pochette surprise


Ma boîte à lettres n'est pas seulement une tirelire, c'est aussi un coffre aux trésors, une pochette surprise. How lucky I am. J'ai eu des nouvelles des kataras au Centre culturel Tjibaou, ça fait toujours plaisir. Je fais un peu l'aide soignante , je soigne les élèves infirmières qui trouvent que le Paradis, c'est pas le paradis.  Pour la guérir, je lui offre un billet tagué, mon activité favorite du moment. Je profite d'une apparition du soleil pour reprendre mes activités de laveuses. Je prépare le troisième volet de Je vous salue dans le silence pour l'exposition La ville et ses chemins de traverse. Et puis j'apprends le païci, la langue d'ici.






(Sur le billet : Cecilia Meireles et un poème de Manuel Bandeira)

Cecilia , tu es comme l'air : diaphane, diaphane
Mais l'air a ses limites. Toi, qui peut te limiter ?

4 commentaires:

  1. Un être flottant qui doit trouver son kaori...
    (Les oiseaux ont abordé ton rivage.)

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  2. Je viens de passer des minutes et des minutes à me promener sur ton blog.
    Vanuatu, Nouvelle Zélande, pétroglyphes, Côte Est, Opéra de Sydney ... que de beaux mots et de très bons souvenirs pour moi ! Merci.
    J'ai découvert tes kataras, je suis admirative et regrette d'être partie avant cette expo !

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  3. Vous vous êtes ratés en 2010 à Nouméa avec les kataras , dommage. Ils étaient au Centre d'art et pas sur le quai des arts.. Ravie que cette promenade t'ait plu. Je vais faire la même chose sur ton blog.

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  4. J'espère que les oiseaux aiment mon histoire madame la maîtresse d'école.

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