samedi 3 mars 2012

Dans la ville brûlante


Nous allons de moins en moins souvent à la Ville mais il est toujours agréable de trouver de nouveaux lieux où s'asseoir et trouver un peu de fraîcheur. J'ai ajouté hier la Maison du Livre installée dans la Maison Cellières et son jardin ombragé à ma petite liste. L'endroit parfait pour commencer Le dépaysement de Jean Christophe Bailly.

Entendu à la radio sur la route du retour : « Ce qui distingue la poésie de la parole machinale, c’est que la poésie justement nous réveille, nous secoue en plein milieu du mot. Ce dernier se révèle alors à nous d’une étendue bien plus vaste que nous ne l’imaginions, et nous nous souvenons soudain que parler veut dire : se trouver toujours en chemin. » (Ossip Mandelstam) à propos de la pièce de Pierre Meunier Du fond des gorges





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