dimanche 13 février 2011

encore une promenade sur les trottoirs de Séoul


C'est Pierre Alechinsky qui m'a appris à regarder les bouches d'égoût. Pendant ses voyages, il en relevait des empreintes en encrant les plaques comme des tampons.( ce que j'ignorais c'est qu'il utilisait du papier coréen pour ces estampes de bouches d'égout)
 J'aurais bien fait la même chose avec mes feuilles  Hanji mais je n'avais pas  assez d'encre et il faisait trop froid.
Maintenant il fait chaud et il n'y a plus de bouches d'égoût coréennes. Il y a des problèmes de clés, des rendez vous matinaux, des cartons à porter et des états des lieux.

4 commentaires:

  1. Mais vous allez retrouver le beau Papaye. Bon courage pour tout.F.

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  2. aujourd'hui déménagement, demain état des lieux pré rentrée et retrouvailles avec chat papaye, programme bien chargé ... chaud et humide il s'agit bien des Tropiques...à bientôt

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  3. Alechinsky... Ah, cette histoire de papier et d'encre...

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