vendredi 28 janvier 2011

Calder, Balzac et moi


 Oui, j'aime Calder surtout les mobiles mais pendant les semaines qui viennent de s'écouler il ne m'a été permis  de photographier que  des stabiles : au bord du Grand Canal ou devant la gare de Grenoble. Calder a fabriqué une tête de lit à Peggy Guggenheim,  c'est l'avantage d'être milliardaire. Un jour, je retournerai à Saché. Et maintenant que je suis réconciliée avec Balzac ( oui, oui, j'ai dévoré Eugénie Grandet, je n'ai pas sauté les descriptions, je les ai même lues attentivement par contre les histoires d'argent et de faillite, je n'y ai compris goutte, ça ça n'a pas changé.),  ce sera encore mieux.

2 commentaires:

  1. J'adore ce livre! Je le recommendais a quelqu'un ce mercredi et du coup j'ai envie de le relire et aussi la Cousine Bette, avec son amoureux couleur de lune comme elle dit.

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  2. oh oui merci Louise Bourgeois. Je vais lire la Cousine Bette.

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