Je viens de finir en
larmes- et je ne dois pas être là seule-
D'autres vies que la mienne d'Emmanuel Carrère et je me demande ce que je vais lire. Ce n'est pas de chance mais le volume 5 des oeuvres complètes de Balzac rangé dans la bibliothèque de la chambre de lycéen de la fin des années soixante dix ne contient pas Eugénie Grandet . En attendant, je lis le catalogue de l'exposition Moi, Eugénie Grandet, de Louise Bourgeois en profitant d'une demie heure de solitude pour écouter Vincent Delerm puis regarder
Les larmes de Laurent Larivière que j'ai reçu pour Noël qui me semble coller avec mon après midi gris et breton ( même si c'est vers St Malo que je mets les voiles et pas vers Cherbourg)
I'm not stupid I am only unhappy
fearful foolish a washer woman
I have spent my life washing socks
and handkerchiefs
Louise Bourgeois, Ode to Eugénie Grandet
'Larmes, pas de chance, solitude , midi gris...' STOP, c'est quand que tu reviens pour qu'on fasse une soirée Rose !
RépondreSupprimerje ne tarde plus
RépondreSupprimerTrop chaud derrière la vitre aujourd'hui, et j'ai une angine coincée dans la gorge. Moi aussi j'ai versé des torrents de larme avec ce livre et c'était bien agréable. J'espère que vous serez revenus le WE du 29-0 qu'on se voit davantage car le suivant nous serons à Bilbao. Bon tour de France (et d'ailleurs au fil des lectures) d'ici là !
RépondreSupprimeron y sera...
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