Qu'est ce qui nous a pris d'aller en voiture à la Maison de Balzac ? ça m'a rappelé la course folle à travers la Beauce pour arriver avant la fermeture de la maison de Tante Léonie à Combray. Sauf que là, rue de Rivoli, on piétinait. Au pied de la Maison de la Radio, le vent malin avait fait tourner les panneaux de signalisation et ça nous a encore retarder. On est descendus pour ensuite remonter et arriver hors d'haleine. Le gardien a compati. Il nous restait trois quarts d'heure pour visiter l'exposition de
Louise Bourgeois dédiée à Eugénie Grandet. Il n'a pas voulu qu'on paie le billet d'entrée.
Moi qui n'ai jamais relu Balzac depuis une lecture pénible du Lys dans la Vallée, je me sens prête à retenter l'aventure. Et au retour, on n'a pas regretté d'avoir pris la voiture...
Et le soir, comme chaque soir, depuis des jours, un délicieux dîner (italien) . Je referai dès que possible
les gnocchi alla zucca (de Sandra).
Je donnerais cher, my dear, pour être là vous êtes et non là où je suis ...
RépondreSupprimerMoi, j'avais l'intention de relire Zola !
La cousine Bette, Eugenie Grandet, Le Pere Goriot... j'ai pris du temps avant de les ouvrir, ca me barbait mais apres...j'adore!
RépondreSupprimerMagnifique photo... et quand je vois toutes ces choses qu'il a a faire et a decouvrir, c'est a devenir folle, et que c'est bien... que c'est bon!
RépondreSupprimerToutes ces allées et venues donnent un peu le tournis mais quel régal... l'exposition de Louise Bougeois est très belle. J'aime toujours autant les maisons d'écrivains. Bon mardi de ... Saint Brieuc, côtes d'armor.
RépondreSupprimerje me fais l'effet d'un hamster qui fait ses provisions pour l'hiver austral.
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