Un vendredi dense plein de paysages bourguignons, de peinture new-yorkaise et de théâtre allemand.
Paris Lyon en TGV et en polar islandais m'anesthésie.
Jean Michel Basquiat dans la chaleur, le brouhaha et la foule me réjouit tout en me mettant mal à l'aise. J'ai eu au milieu de l'exposition envie que des sons stridents nous dérangent.
Bertold Brecht au Théâtre Gérard Philippe de Saint Denis en groupe avec accras à l'entracte et klaxons tunisiens. Là, j'ai tout aimé : les acteurs, les chansons, le décor, le théâtre, les chansons, le public...
Un samedi presqu'immobile à finir le polar islandais du train.
Par la fenêtre, le monde va mal, la radio énonce les catastrophes en tous genres, on dirait que Georges Perec a écrit le texte. Que vais je faire de mon dimanche ?
J'aime tes voyages, quelle chance! Oui, que vas-tu faire? Bon dimanche!
RépondreSupprimerune suggestion ?
RépondreSupprimerJe pensais à la maison de Balzac et à Eugénie Grandet et Louise Bourgeois ... En attendant de me décider, je lis la BD de Joan Sfar Chagall en Russie...
On the road again ...
RépondreSupprimeryes, my dear, comment voir ses amis chers éparpillés en quelques semaines, merci TGV. On reprend la route demain vers la Bretagne puis vers Rochefort, c'est fatiguant mais vivifiant...
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