Je ne dors que d'un oeil. J'entrouvre mon volet. Je lis
un roman samoan qui m'enchante. Je réfléchis au chemin parcouru et à celui à prendre. Je flotte. Je me souviens qu'on pouvait marcher dans les traces laissées par les grandes bottes mais il fallait allonger le pas ou choisir d' inventer son chemin. Dans le sable. Dans la neige aussi.
Je résiste à la tentation d'aller faire l'école juste à côté. Apprendre à dire non, une vie n'y suffira pas.
La roquette est déjà sorti de terre et le basilic aussi. Quel étrange pays où tu plantes un bâton devant chez toi et le lendemain , tu te retrouves au milieu d'une forêt.
Je suis
la dame aux kataras et j'aime ça.
Les volets s'ouvrent, les rideaux bleus s'écartent et les yeux de la toile s'embuent sur la 'Baie de Rio' de Nino.
RépondreSupprimerC'est bon de vous entendre...
Alors, ca valait la peine d'entrouvrir les volets non? Les rideaux sont beaux, j'aime beaucoup ces bleus.
RépondreSupprimerQu'ils sont beaux tes rideaux!!!!
RépondreSupprimerc'est gentil, c'est vrai qu'ils sont beaux ( mais ce ne sont pas des rideaux...)
RépondreSupprimerça valait le coup de regarder tous les jours s'il y avait qqchose !
RépondreSupprimerC'est arrivé, c'est chouette.
Belles couleurs, le papier semble kraft.
non pas du papier kraft mais ça a la couleur du kraft.
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