Devant la maison, ça fait trois jours qu'un gigantesque banc de sardines remonte la rivière à marée basse pour la plus grande joie des pêcheurs à l'épervier. Sur le pont, les badauds dont je fais partie à chaque traversée se penchent et soupirent en les regardant : ça, c'est bon en friture.
vendredi 19 août 2011
pêche miraculeuse
Je scie des bambous qui se sont échoués au pied de la maison pour les graver, je scie les troncs des bananiers du jardin que le vent a déracinés ( L m'a expliqué que je peux en faire du papier, j'essaie), je continue le voyage avec Paul Theroux ( Je suis aux Samoa et Robert Louis Stevenson s'est joint à nous), je teins mon tapa salomonais avec du safran sauvage ( en fait du curcuma) que j'ai acheté au marché. Je cherche, je tâtonne, je fais et je défais.
Devant la maison, ça fait trois jours qu'un gigantesque banc de sardines remonte la rivière à marée basse pour la plus grande joie des pêcheurs à l'épervier. Sur le pont, les badauds dont je fais partie à chaque traversée se penchent et soupirent en les regardant : ça, c'est bon en friture.
En attendant le retour de l'appareil photo, je regarde en arrière. Ici la rivière de la pêche miraculeuse.
Devant la maison, ça fait trois jours qu'un gigantesque banc de sardines remonte la rivière à marée basse pour la plus grande joie des pêcheurs à l'épervier. Sur le pont, les badauds dont je fais partie à chaque traversée se penchent et soupirent en les regardant : ça, c'est bon en friture.
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Et dire qu'ici on ne trouve plus de sardines paraît-il ?
RépondreSupprimerelles se sont donné rendez vous sous nos fenêtres.
RépondreSupprimerOn dirait que THE carte est arrivée sous un Irish weather...
RépondreSupprimerElle a pris son temps : un mois jour pour jour
RépondreSupprimerLa photo date de plusieurs mois, le temps ces jours ci est délicieux.
RépondreSupprimersnail mail
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