C'est un peu étrange. Il faut acheter son sketchbook, le remplir et le renvoyer . Ensuite il voyage avec des milliers d'autres dans des villes des Etats Unis, pour le premier et aussi en Australie pour le second.
C'est un exercice avec des contraintes, le renvoyer avant une date précise et surtout ne pas le conserver, s'en défaire. Et c'est ce que je préfère. Me défaire de ce que je fais. Sans les questions insolubles pour moi du donner et du vendre. Là c'est même le contraire, il faut payer son sketchbook.
De temps en temps, on reçoit un message comme quoi quelqu'un a lu votre sketchbook. Pas plus.
Mon premier sketchbook était en français. Il s'agissait de haikus découpés dans le journal. A haiku a night et devait beaucoup aux bambous gravés kanak.
Mon second était un poème en anglais I remember you dont les illustrations s'inspiraient des tapas océaniens.
On peut les feuilleter ICI
Ce qui est bien aussi c'est de le recevoir dans sa boite à lettres.
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