Ils n'attendent plus que le feu vert pour envahir la ville et les lignes bleues et violettes. Encore 2 et c'est la cinquantaine. Cinquante kataras, c'est comme ça.
I
ls étaient cinquante pour encadrer la natte poème dédiée aux femmes de Canala.
Ils sont cinquante dans des valises en guise d' autoportrait dédié aux lycéens de Pouembout.
jusqu'en juin au Centre culturel Tjibaou, Ko Neva la nature en harmonie avec la culture
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